01Mar
Comme dans beaucoup d’autres hôpitaux en France, les urgences d’Arras sont à bout de souffle. Il y a une dizaine de jours, face au surmenage qu’implique la période hivernale, les personnels craquent et sollicitent le syndicat Force Ouvrière pour demander à la direction des effectifs, des ouvertures de lits, des moyens de sécurité supplémentaires…etc (voir tract).
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C’est la disette salariale à l’image des orientations gouvernementales sur le Smic. 10 ans sans coup de pouce, le patronat du commerce suit cette logique sur les grilles des minima.
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