Nous exigeons simplement du respect !

L’hôpital ou la dictature au quotidien :

Coralie est aide soignante. Pour équilibrer sa vie personnelle et sa vie professionnelle, elle a demandé et obtenu un travail à temps partiel à 80% il y a 6 ans de cela. Aujourd’hui elle est convoquée par sa cadre qui lui demande de passer à 75% car l’hôpital n’a plus les moyens de payer le supplément de rémunération qui est accordé par la loi. (article 47 de la loi du 9 janvier 1986).

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La rentrée dégueulasse à l’hôpital !

Vacances terminées, réalités retrouvées !

Dans les hôpitaux c’est une politique de rigueur qui s’installe par une évolution des recettes inférieures à l’évolution des dépenses. L’hôpital se trouve donc plongé dans une situation déficitaire. L’endettement des établissements de santé publics a triplé en dix ans, frôlant les 30 milliards d’euros, fin 2012. « Certains établissements de santé sont proches de la rupture de trésorerie », relève la Cour des comptes. Fragilisées par la crise financière, les banques rechignent à prêter aux hôpitaux. (Avant c’était la sécurité sociale qui finançait la totalité des activités hospitalières, emprunt compris. Aujourd’hui, les banques ont pris une part du marché et comme pour les Etats, elles créaient du déficit, encouragent la dette car c’est une affaire juteuse)

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